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                     Emporté sur des vagues de nuages rêveurs 
                    L’enfant était doux et tendre comme une  mouette 
                    Trouvant son réconfort dans un coin de son cœur 
                    Il pensait au jardin derrière la porte verte. 
                    Le soleil l’enlaçait de ses rayons d’amour 
                     Mais l’or ambré du ciel prit les teintes du fer 
                    Et l’enfant dessina ses images de toujours 
                    Essayant d’oublier qu’il venait de la terre. 
                     Deux étoiles de feu dansèrent devant ses yeux 
                    Créant un univers d’une infinie lumière. 
                    Des étincelles sourirent dans un dernier adieu 
                     Et l’enfant trop heureux s’élança solitaire 
                    Dans le vide de l’azur et ses reflets nacrés 
                    Avec au cœur un chant, un rêve d’éternité. 
                      
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